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Paul Collomb lithographie

Le lithographe

un artiste doublé d’un praticien

Lithographie

Paul Collomb réalisa ses premières lithographies à l’Ecole des Beaux-Arts. Elles ne furent pas éditées, une ou deux épreuves seulement de chaque furent imprimées.

C’est en 1959 que commença vraiment son activité de lithographe. Il réalisa à l’atelier Mourlot, avec les conseils judicieux de Deschamps, l’affiche de sa première exposition aux États-Unis.

Ce furent ensuite environ 150 lithographies en couleurs et 70 en noir. La dernière lithographie, Les raisins noirs,  a été réalisée en 2000 pour les amis du Salon d’Automne.

A la différence de bien d’autres artistes de son époque, il est un véritable lithographe. Il travaille directement chaque pierre et s’exprime en fonction des exigences de la technique.

De fait ses lithographies ne sont pas, loin de là, de simples copies de ses peintures ou de ses aquarelles. Dans son cas, on peut vraiment parler de lithographies originales.

Gravure sur cuivre

Il a également gravé des eaux-fortes surtout et des pointes sèches au début de sa carrière : un recueil de personnages d’Espagne et des vues du port d’Amsterdam.

Dans les années 50, chaque année était saluée par une gravure envoyée à ses amis pour le Nouvel An, remplacées par la suite par des lithographies.

Sa dernière pointe sèche illustre le livre La Semaine Sainte, Séville, 1952.

Sérigraphie

Curieux de formes d’expression différentes, il s’est également essayé à la sérigraphie. Il en a publié en particulier dans la revue Sujet : Les mèresLa mortIoJob.

Paul Collomb gravure