1952 Paul Collomb à Séville
Après l'obtention du Premier second Prix de Rome en 1950 (Le thème : Dans la nature des jeunes filles expriment le retour du printemps. Un sujet qui lui convient parfaitement et sur lequel il travaillera souvent), Paul Collomb reçoit le prix de la Casa de Velasquez qui lui vaut un séjour à Madrid pour la période universitaire 1951-1952. Au printemps 1952, il se rend avec son épouse à Séville pour la Semaine Sainte. Il y réalise un ensemble de croquis aquarellés pris sur le vif sur des feuilles au format 27 x 21 cm. Conscient de la qualité de...
Paul Collomb / présentation
Le dépliant ci-dessous vous donne, en quelques mots et quelques images, l'essentiel sur l'artiste...
Paul Collomb par son fils Pierre
Pour le catalogue de l'exposition du centenaire à Oyonnax, son fils Pierre a écrit un texte : Sa...
Paul Collomb
Oyonnax (Ain, France) 8 octobre 1921 – Paris (Seine, France) 6 octobre 2010
Après la Guerre 39-45, il installe son atelier à la Ruche. Il suit les cours de l’Ecole des Beaux-Arts de Paris, avant d’obtenir le premier Second Prix de Rome qui lui ouvre les portes de la Casa Velasquez à Madrid (1951) puis de l’Institut Français d’Amsterdam (1953-54)
De retour à Paris, il est remarqué et soutenu par les critiques d’art, en particulier par George Besson des Lettres Françaises, et expose régulièrement. Parallèlement, il participe aux grands salons parisiens : Peintres Témoins de leur Temps, Salon d’Automne, Comparaisons, Société Nationale des Beaux-Arts…
Son art s’affirme et lui ouvre les portes d’une notoriété internationale, en particulier en Europe, aux Etats-Unis et en Asie du Sud-Est.
En plus des expositions individuelles dans les galeries de Paris et de Suisse, dont il est l’invité ou avec lesquelles il est en contrat, il bénéficie de deux rétrospectives d’ampleur au musée d’Annecy en 1967 et à Angers en 1992.
Paul Collomb n’est pas seulement un peintre, il laisse également une production abondante de pastels, d’aquarelles, de dessins, de gravures et de lithographies.
Nombre de ses œuvres figurent dans des musées en France et à l’étranger. Il reçoit également de nombreux prix.
Son fils Pierre défend aujourd’hui activement son œuvre, en particulier en assurant sa présence régulière dans les grands salons.
Illustrations de bas en haut : La sieste, 2004 (huile sur toile, 92 x 73 cm) / L’artiste dans son atelier de Chevrier en 1994 / Dans le bassin d’Arcachon,1993 (huile sur toile, 92 x 73 cm) / les légendes des illustrations des articles sont à consulter dans chaque article / en haut de page et de gauche à droite : Guy Bardone, George Besson, René Genis, Jacques Petit, Paul Collomb et Marie-Aimée Bocquillard, la propriétaire de la librairie « Au Temps retrouvé » à Grenoble, qui organisa des années durant de magnifiques expositions avec cette équipe de peintres et le soutien médiatique de George Besson dans Les Lettres françaises (1965)